Je vous l’annonçais en mai dernier : la Philharmonie de Paris mettra la musique de jeu vidéo à l’honneur les 17 et 18 juin prochains, avec pour la première fois en France l’interprétation de quelques-unes pièces du répertoire des fameux concerts pour orchestre Symphonic Fantasies, Symphonic Odysseys et Final Symphony.
La semaine dernière, la Philharmonie a officiellement confirmé que Nobuo Uematsu sera présent en personne aux deux concerts prévus, et participera à cette occasion à des discussions en public. Ces deux rencontres avec le célèbre compositeur se feront dans la grande salle Pierre Boulez, comme vous pouvez le constater sur l’agenda du site officiel : une première le samedi 17 juin à 19h15, juste avant Symphonic Selections Paris, et une seconde le dimanche 18 juin à 18h30, juste après Symphonic Odysseys Paris. Pour pouvoir y assister, il faudra présenter la place du concert lié.
Je me permets une nouvelle fois de vous recommander très vivement de venir assister à ces concerts (aux deux, si possible), car il s’agit de ce qu’il se fait de mieux en termes de réorchestrations des musiques de Square Enix. Vous trouverez ci-dessous des informations détaillées sur chacun d’eux. N’ayez pas peur des catégories 4 et 5 : bien que très abordables, elles peuvent donner accès à de bonnes places, y compris en termes d’acoustique.
Les deux programmes seront joués par le London Symphony Orchestra dirigé par Eckehard Stier.
Symphonic Selections Paris
Samedi 17 juin 2017 à 20h30 – Réservations ici (de 10 à 70 €)
Programme :
– Final Fantasy VI (Nobuo Uematsu – arrangement : Roger Wanamo)
– Final Fantasy VII (Nobuo Uematsu – arrangement : Jonne Valtonen)
– Kingdom Hearts (Yôko Shimomura – arrangement : Jonne Valtonen)
– Chrono Trigger & Chrono Cross (Yasunori Mitsuda – arrangement : Roger Wanamo)
Symphonic Odysseys Paris
Dimanche 18 juin 2017 à 16h30 – Réservations ici (de 10 à 70 €)
Programme :
– Hommage à Nobuo Uematsu, avec Final Fantasy, Blue Dragon, Lost Odyssey, The Last Story (arrangements : Jonne Valtonen, Roger Wanamo, Jani Laaksonen)
